10 años después de una primera reflexión, una secuela...
Habiendo vivido la transición metodológica de los rodajes, sin walkie-talkies, ni correo electrónico o teléfonos móviles, hasta la llegada de lo digital, los LEDs y la comunicación instantánea, me permito hacer alguna observación.
En algunos rodajes he llegado a sentir una demanda exclusiva y casi permanente por la puesta en escena o los ensayos mecánicos, donde las aportaciones técnicas se reducen a acciones puntuales, que no (...)
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Chronique
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De división social y tecnología....
13 de octubre de 2022, por admin_elemac -
De la division sociale et de la technologie...
10 octobre 2022, par admin_elemac10 ans après une première réflexion, une suite...
Ayant connu le passage méthodologique des tournages en pellicule, sans talkies, ni mail et téléphone portable à l’avènement du numérique, leds et communication immédiate, je me permets de faire un constat.
Voilà quelques tournages où je ressens une demande exclusive quasi permanente pour la mise en scène, les espaces de répétition mécanique, réglages techniques se retrouvent réduits à peau de chagrin, pas forcément officialisés et (...) -
La domination au travail est beaucoup plus dure qu’avant...
27 octobre 2018, par admin_elemacArticle de l’echo.be
Psychiatre et psychanalyste, Christophe Dejours est professeur au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM, Paris), titulaire de la chaire Psychanalyse-Santé-Travail et directeur de recherche à l’Université Paris V. Auteur d’une œuvre abondante sur le monde du travail et les pathologies associées, il dénonce l’avènement des "gestionnaires" dans les années 1980, qui a, dit-il, eu des effets catastrophiques sur la qualité du travail et les pathologies qui en (...) -
Sur la confidentialité des tournages...
24 juin 2016, par admin_elemac[sommaire]
Version française À propos d’un refus de signature d’une clause...
Il devient de plus en plus courant que l’on demande de signer une charte de confidentialité sur les tournages. Et même parfois d’interdire les photos. Étonnamment, la plupart la signe sans se poser de question ou alors peut être se sentent ils flattés d’être dans le secret du projet.
En plus d’être la plupart du temps totalement frauduleuse dans la formulation contractuelle , c’est-à-dire sans limite de (...) -
Travail : peut-on résister aux injonctions paradoxales sans péter un boulon ?
11 juin 2015, par admin_elemacDans un monde où marché et coachs en management font la loi, salariés et dirigeants sont submergés. Et le système se fissure de l’intérieur. Se soumettre ? Se démettre ? Comment concilier l’inconciliable ?
« Soyons réalistes, demandons l’impossible. » Passé à la moulinette du management contemporain, le slogan fantaisiste de Mai 68 s’est trouvé propulsé de l’autre côté de la barricade. En catimini, il a atterri dans d’improbables cabinets de consultants chargés de standardiser les (...) -
Expression, unité, auto-censure et récupération.
11 janvier 2015, par admin_elemacPourquoi cet article ici ? La liberté d’expression fait partie intégrante de l’audiovisuel afin que celui-ci ne deviennent pas un simple "soma".
Mes réserves sur l’unité nationale.
Athé depuis 5 générations et arrière petit fils de communard, je dis bien des choses à toute forme d’obédience (je les respectent cependant dans la mesure d’une réciprocité).
Voir les principaux promoteurs de ces communautarismes et stigmatisations s’ exprimer sans vergogne dans les heures qui suivent (...) -
La rage.
3 mars 2014« Comme je dis toujours, on peut comparer l’intermittent du spectacle au militaire. Le militaire, son boulot c’est quoi ? C’est de faire la guerre. Or, la plupart du temps, qu’est-ce qu’il fait ? Tout comme nous autres, il répète sa guerre ! Sauf que lui, il de la chance, personne ne remet en cause la rémunération de ses répétitions & et voilà. »
Jean Super, sur le site du Point. -
Lettres d’humeurs
17 janvier 2014, par admin_elemacOlivier, chef Electricien. [sommaire]
Les techniciens et ouvriers du cinéma ont choisi leur métier, les producteurs aussi. Produire n’est pas la vocation des techniciens et ouvriers, il n’y a aucune raison qu’ils pallient au manque de budget des films en baissant leur salaire. Les producteurs ont pour responsabilité de réunir les fonds suffisants pour produire le film, pas de demander à leurs employés de "coproduire" en baissant leur salaire : c’est leur métier.
Nous avons le notre, (...) -
Cher syndicat
6 janvier 2013, par admin_elemacHormis une régression salariale de près de 10 ans, une officialisation d’un travail hebdomadaire de plus de 47 heures (1936..),une heure de moins de repos entre 2 périodes de travail, une "notions" d’heure d’équivalence, une rupture d’équité de salaire proposée selon les budgets des films, une réduction des majorations,... que l’on veut me demander de cautionner (façon TINA, fameux diminutif de Tatcher disant : "there is no alternative"), un profond désaccord structurel me fait me retirer (...)
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Petit voyage personnel dans l’oligarchie ouvrière...
3 octobre 2012, par admin_elemacannexe à l’article l’impasse...
Après plusieurs court-métrages, un renfort sur un téléfilm me faisait intégrer une équipe et un réseau professionnel. Ma grande motivation et mon dévouement me firent m’impliquer dans mon travail avec une réelle conviction et une candeur sur lesquelles je suis un peu circonspect aujourd’hui.
Je mis mes compétences à la fabrication de matériels, de projecteurs, d’aménagements, de tableurs informatiques, ne comptant pas les heures, les jours.. Peu à peu, (...)